Née en 1971 à Genève, où elle réside, Isabelle Sbrissa achève actuellement un master à l’Institut littéraire suisse de Bienne après une licence en Lettres. Elle a écrit pour le théâtre et se consacre maintenant à la poésie: ses textes s’éloignent de la fonction de communication de la langue pour explorer sa musicalité. Ils invitent à rêver l’accouplement et la transformation des langues, creusent des passages entre leur univers sonores et déploient des significations ouvertes qui dérivent vers le chant.
Si dans «ceylor», le sens se déploie encore à partir des sonorités, dans «transformation de ‘la vie antérieure’ d’oskar pastior» c’est la forme elle-même, mimant la traduction, et le plaisir musical qui opèrent le passage d’une «langue» à l’autre. Ces trois poèmes sont lus par l’auteure sur www.lecourrier.ch/auteursCH ou ici:
ceylor, langue morte, et transformation.
Travaux d’Italie
Poèmes, in Grumeaux III, Violence, Éditions NOUS, Caen, 2012
La Traversée du désert
Théâtre, in Collection Enjeux 8, CamPoche, Éditions Bernard Campiche, Orbe, 2009
Le Quatre-Mains
Théâtre, in Collection Enjeux 7, CamPoche, Éditions Bernard Campiche, Orbe, 2009
Autres liens: publications dans des revues en ligne:
KIN issue 3 2013.01
mot à mort
Emily Dickinson
sitaudis.fr
sonnetsTM
l'émilie
oracle
Une petite moquerie ludique sur nos préoccupations identitaires
littérature de partout
travaux d'Italie
Isabelle Sbrissa, Travaux d'Italie, dans Grumeaux, "Violence", n° 3, 2012, éditions NOUS, p. 8, 9, 10, 13, 14.
Paralitteratures
Entre les lignes, 2 juin 2011
Noëlle Revaz, Escales & Isabelle Sbrissa, intimités, amuse-bouche et cycles
revue coaltar
Baccalà alla ligure / Baquelle à la dure
Le Courrier, 1.10.2012